Embarcation de secours et d'assistance aux victimes (ESAV) armée par les sapeurs-pompiers de Paris.
Réalisée à partir de la base polyvalente Stem Jet 7.30 longue de 7.50 mètres et large de 2.70 mètres. 0.50 mètre de tirant d'eau. Propulsion de type hydrojet. Equipée d'in kit de sauvetage. Un brancard peut être chargé par l'arrière à fleur d'eau grâce à une glissière rabattable.
Cliché réalisé au centre de secours nautique La Monnaie de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris au cours de la présentation à Manuel Valls (Ministre de l'Intérieur) du dispositif de secours du secteur nautique mis en place à l'occasion de la Saint Sylvestre. Une démonstration dynamique d'un sauvetage d'une victime tombée en Seine était organisée
L’Embrun, rejoint le port de Brest aux côtés du Gave en 1967. La Direction du port fournit les trois marins de l’équipe de conduite. Il est armé par six marins-pompiers. Il est désarmé en 2010.
23.80 mètres de long sur 5.26 mètres de large. Il est équipé de deux pompes de 280 m3/heure, 4 lances Monitor de 380 m3/heure. Il est équipé sur le pont arrière d’une échelle pivotante téléscopique de 12 mètres
L’Embrun, rejoint le port de Brest aux côtés du Gave en 1967. La Direction du port fournit les trois marins de l’équipe de conduite. Il est armé par six marins-pompiers. Il est désarmé en 2010.
23.80 mètres de long sur 5.26 mètres de large. Il est équipé de deux pompes de 280 m3/heure, 4 lances Monitor de 380 m3/heure. Il est équipé sur le pont arrière d’une échelle pivotante téléscopique de 12 mètres
Commandant Filleau
Bateau-pompe
Chantiers Navals Franco-Belges
Service départemental d'incendie et de secours de Gironde
Mis en service en 1952. Son nom est celui d'un officier des sapeurs-pompiers de Bordeaux mort au feu en 1845. 21,10 mètres de long sur 4,75 de large. Déplacement de 85 tonnes. Deux moteurs de 250 CV. Vitesse de 12 nœuds. Deux pompes de 1 000 m3/h à 6 bar en parallèle et 546 m3/h à 12 bar en série. 4 lances Monitor dont une sur tourelle repliable. Retiré du service en Octobre 2005. Cliché réalisé alors que le navire participait au rassemblement de l'Armada 2013 à Rouen
Vedette d'intervention de rade (VIR) mise en service en avril 2010. 50 tonnes, 19 mètres de long, 5.60 mètres de large, vitesse de 14 nœuds. Destinée à la lutte contre l'incendie (production de mousse, tuyaux, lances et accessoires), la ventilation (ventilateurs de soufflage et d’aspiration), la lutte contre les voies d’eau (pompes d’assèchement, moyens d’obturation de voies d’eau), l'éclairage (phares mobiles). Peut accueillir une victime allongée et une victime assise (moyens mobiles d'assistance et de premiers secours).
Collecteur incendie raccordé à deux canons mixtes eau / mousse de débit unitaire de 35 m3/h à 180 m3/h à la pression de 10 bar. 1 200 litres de liquide émulseur. 5 bouteilles de 50 kg de Co2 (200 bar).
L'équipage est constitué de deux marins et de six marins-pompiers.
Une seconde vedette de même type, la Douffine (Y680) également livrée en avril 2010, est armée par les marins-pompiers de Brest
Abeille Bourbon
Remorqueur d'intervention, d'assistance et de sauvetage
Construit en 2005. 32.50 mètres de long. Assure la sécurité du rail d'Ouessant. Deux canons incendie à eau d'un débit de 2 400 m3/h chacun. Un canon à mousse d'un débit de 600 m3/h. Deux bateaux de secours Moboats Springer à hydrojets pouvant accueillir 18 rescapés
Alerte
Bateau-pompe
Société provençale de constructions navales (La-Ciotat)
Mis en service en 1931 par la Chambre de commerce de Marseille et armé par les sapeurs-pompiers de Marseille (la 3ème compagnie dite compagnie du port) puis par les marins-pompiers de Marseille à partir de 1939. Retiré du service en 1964 et vendu pour démolition en 1965. 37 mètres de long sur 8 mètres de large. Pompe d'un débit de 1 200 m3/heure (12 kg). 5 lances Monitor dont une sur tourelle. Pompes d'épuisement débitant 3 000 m3/heure.
Ce document est exceptionnel, les photographies de ce bateau-pompe sont très rares. On le voit ici en construction en 1930 sur les chantiers de la Société provençale de constructions navales (SPCN) à la Ciotat. Visiblement les membrures sont en cours d'installation. Ces dernières supporteront le bordage qui formera la coque
Embarcation de secours et d'assistance aux victimes (ESAV1) armée par les sapeurs-pompiers de Paris.
Réalisée à partir de la base polyvalente Stem Jet 7.30 longue de 7.50 mètres et large de 2.70 mètres. 0.50 mètre de tirant d'eau. Propulsion de type hydrojet. Equipée d'in kit de sauvetage.Un brancard peut être chargé par l'arrière à fleur d'eau grâce à une glissière rabattable. Concernant son nom de baptême : La Dhuys est une rivière sous-affluente de la Seine.
Les sapeurs-pompiers de la Gironde ou encore les unités de la Sécurité civile ont opté pour une embarcation analogue
Embarcation de secours et d'assistance aux victimes (ESAV1) armée par les sapeurs-pompiers de Paris.
Réalisée à partir de la base polyvalente Stem Jet 7.30 longue de 7.50 mètres et large de 2.70 mètres. 0.50 mètre de tirant d'eau. Propulsion de type hydrojet. Equipée d'in kit de sauvetage.Un brancard peut être chargé par l'arrière à fleur d'eau grâce à une glissière rabattable. Concernant son nom de baptême : La Dhuys est une rivière sous-affluente de la Seine.
Les sapeurs-pompiers de la Gironde ou encore les unités de la Sécurité civile ont opté pour une embarcation analogue
Embarcation de secours et d'assistance aux victimes (ESAV) armée par les sapeurs-pompiers de Paris.
Réalisée à partir de la base polyvalente Stem Jet 7.30 longue de 7.50 mètres et large de 2.70 mètres. 0.50 mètre de tirant d'eau. Propulsion de type hydrojet. Equipée d'in kit de sauvetage.Un brancard peut être chargé par l'arrière à fleur d'eau grâce à une glissière rabattable. Concernant son nom de baptême : l'Avre est une rivière française affluent de l'Eure, sous-affluente de la Seine. Les sapeurs-pompiers de la Gironde ou encore les unités de la Sécurité civile ont opté pour une embarcation analogue
Affecté à la brigade fluviale il assure des missions d'assistance, de secours, de lutte contre la pollution et de maintien de l'ordre. Equipé pour la lutte contre l'incendie avec une pompe d'un débit de 100m3/heure, d'une lance-canon Sides d'une portée de 65 mètres. Deux pompes d'épuisement de 200 m3/heure, grue hydraulique (2 tonnes à 8 mètres)
Embarcation de secours et d'assistance aux victimes (ESAV1) armée par les sapeurs-pompiers de Paris.
Réalisée à partir de la base polyvalente Stem Jet 7.30 longue de 7.50 mètres et large de 2.70 mètres. 0.50 mètre de tirant d'eau. Propulsion de type hydrojet. Equipée d'in kit de sauvetage.Un brancard peut être chargé par l'arrière à fleur d'eau grâce à une glissière rabattable. Concernant son nom de baptême : La Dhuys est une rivière sous-affluente de la Seine.
Les sapeurs-pompiers de la Gironde ou encore les unités de la Sécurité civile ont opté pour une embarcation analogue
Embarcation de secours et d'assiatance aux victimes (ESAV1) armée par les sapeurs-pompiers de Paris.
Réalisée à partir de la base polyvalente Stem Jet 7.30 longue de 7.50 mètres et large de 2.70 mètres. 0.50 mètre de tirant d'eau. Propulsion de type hydrojet. Equipée d'in kit de sauvetage.Un brancard peut être chargé par l'arrière à fleur d'eau grâce à une glissière rabattable. Concernant son nom de baptême : La Dhuys est une rivière sous-affluente de la Seine.
Les sapeurs-pompiers de la Gironde ou encore les unités de la Sécurité civile ont opté pour une embarcation analogue
Mis en service en 1937, avec le Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle
à l’initiative du commandant Gabriel Beinier, officier supérieur du Régiment des sapeurs-pompiers de Paris. Armé par six sapeurs-pompiers de Paris et un scaphandrier.
Long de 20 mètres, à coque métallique, déplaçant 37 tonnes , il est animé par un propulseur Voith-Schneider lui même alimenté par un moteur Somua de 205 CV. L’ensemble lui donne une vitesse de 20 km/heure.
Un faible tirant d’air (2.90 mètres) lui permettait de passer sous les pont de Paris, un faible tirant d’eau (1.10 mètre) lui permettait d’approcher des berges de la Seine.
Il offre une capacité hydraulique de 400 m3/heure à 6 kg/cm2 de pression grâce à une pompe alimentée par le moteur de propulsion.
Un collecteur de refoulements présentent 8 orifices de 100 mm, 2 de 65 mm et 2 de 40 mm. Il est armé par deux lances Monitor, d’un canon et deux lances à mousse et 450 litres de liquide émulseur en fûts et jerricans.
Il sera largement mis à contribution durant les bombardements. Son rôle était surtout d’alimenter en eaux les sapeurs-pompiers lorsque les bombardements rompaient les canalisations d’eau
Mis en service en 1937, avec le Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle
à l’initiative du commandant Gabriel Beinier, officier supérieur du Régiment des sapeurs-pompiers de Paris. Armé par six sapeurs-pompiers de Paris et un scaphandrier.
Long de 20 mètres, à coque métallique, déplaçant 37 tonnes , il est animé par un propulseur Voith-Schneider lui même alimenté par un moteur Somua de 205 CV. L’ensemble lui donne une vitesse de 20 km/heure.
Un faible tirant d’air (2.90 mètres) lui permettait de passer sous les pont de Paris, un faible tirant d’eau (1.10 mètre) lui permettait d’approcher des berges de la Seine.
Il offre une capacité hydraulique de 400 m3/heure à 6 kg/cm2 de pression grâce à une pompe alimentée par le moteur de propulsion.
Un collecteur de refoulements présentent 8 orifices de 100 mm, 2 de 65 mm et 2 de 40 mm. Il est armé par deux lances Monitor, d’un canon et deux lances à mousse et 450 litres de liquide émulseur en fûts et jerricans.
Il sera largement mis à contribution durant les bombardements. Son rôle était surtout d’alimenter en eaux les sapeurs-pompiers lorsque les bombardements rompaient les canalisations d’eau
Le bateau-pompe Cascade de la Marine nationale à bord du TCD Foudre en novembre 1961 en route vers Mers el-Kébir. Durant son transport une tempête fait rage et le TCD Foudre embarque des paquets de mer par l’arrière, le radier se remplit d’eau. Le Cascade, pourtant amarré, est ballotté et subit des chocs sur les parois du radier.Sa coque subit d’importants dommages.
Mise en service en 1992. 11 mètres de long et 3.60 mètres de large. Pompe Sides d'un débit de 2 000 litres/min (15 bar). Lance-canon d'un débit de 2 000 litres/min. 4 Refoulements de 100 mm
Destiné à protéger les dépôts militaires d’hydrocarbures de Missiessy et du Lazaret. La barge d’intervention de rade (BIR), la première de la Marine nationale, mise en service à Toulon en décembre 2010, jauge 50 tonnes et fournit une capacité de 1200 m3/heure à 14 bar de pression grâce à ses trois pompes alimentées par trois moteurs diesel. Ces pompes alimentent à leur tour trois collecteurs pouvant chacun alimenter 12 sorties de refoulement DN110. Une cuve de 4 000 litres de liquide émulseur permet la production d’un très important volume de mousse. Son encombrement est de 12x8 mètres