Le Gave rejoint le port de Brest en 1958. Il est animé par deux moteurs diesel Poyaux de 207 cv et deux hélices. L'équipe de conduite est constitué de trois marins de la Direction du Port, l'équipe d'intervention de six marins-pompiers de la 2ème Compagnie de Brest. 23.80 mètres de long sur 5.26 mètres de large. Il est équipé de deux pompes de 280 m3/heure, 4 lances Monitor de 380 m3/heure. Il est retiré du service en 1994 et déconstruit en 1997 sur un terre-plein du Port commercial de Brest.
Le Gave rejoint le port de Brest en 1958. Il est animé par deux moteurs diesel Poyaux de 207 cv et deux hélices. L'équipe de conduite est constitué de trois marins de la Direction du Port, l'équipe d'intervention de six marins-pompiers de la 2ème Compagnie de Brest. 23.80 mètres de long sur 5.26 mètres de large. Il est équipé de deux pompes de 280 m3/heure, 4 lances Monitor de 380 m3/heure. Il est retiré du service en 1994 et déconstruit en 1997 sur un terre-plein du Port commercial de Brest.
Mis en service en 1937, avec le Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle. Retiré du service actif en 1991 et vendu aux enchères en avril 2015. Il a été acquis par Renaud Barillet, directeur associé de la Bellevilloise, un haut lieu parisien d'activités culturelles et événementielles, situé dans le XXe arrondissement de Paris. Le nouveau propriétaire envisage d'associer le Lutèce à un nouveau projet ouvert au public, probablement sur le canal de l'Ourcq
Mis en service en 1937, avec le Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle
à l’initiative du commandant Gabriel Beinier, officier supérieur du Régiment des sapeurs-pompiers de Paris. Armé par six sapeurs-pompiers de Paris et un scaphandrier.
Long de 20 mètres, à coque métallique, déplaçant 37 tonnes , il est animé par un propulseur Voith-Schneider lui même alimenté par un moteur Somua de 205 CV. L’ensemble lui donne une vitesse de 20 km/heure.
Un faible tirant d’air (2.90 mètres) lui permettait de passer sous les pont de Paris, un faible tirant d’eau (1.10 mètre) lui permettait d’approcher des berges de la Seine.
Il offre une capacité hydraulique de 400 m3/heure à 6 kg/cm2 de pression grâce à une pompe alimentée par le moteur de propulsion.
Un collecteur de refoulements présentent 8 orifices de 100 mm, 2 de 65 mm et 2 de 40 mm. Il est armé par deux lances Monitor, d’un canon et deux lances à mousse et 450 litres de liquide émulseur en fûts et jerricans.
Il sera largement mis à contribution durant les bombardements. Son rôle était surtout d’alimenter en eaux les sapeurs-pompiers lorsque les bombardements rompaient les canalisations d’eau
Mis en service en 1937, avec le Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle
à l’initiative du commandant Gabriel Beinier, officier supérieur du Régiment des sapeurs-pompiers de Paris. Armé par six sapeurs-pompiers de Paris et un scaphandrier.
Long de 20 mètres, à coque métallique, déplaçant 37 tonnes , il est animé par un propulseur Voith-Schneider lui même alimenté par un moteur Somua de 205 CV. L’ensemble lui donne une vitesse de 20 km/heure.
Un faible tirant d’air (2.90 mètres) lui permettait de passer sous les pont de Paris, un faible tirant d’eau (1.10 mètre) lui permettait d’approcher des berges de la Seine.
Il offre une capacité hydraulique de 400 m3/heure à 6 kg/cm2 de pression grâce à une pompe alimentée par le moteur de propulsion.
Un collecteur de refoulements présentent 8 orifices de 100 mm, 2 de 65 mm et 2 de 40 mm. Il est armé par deux lances Monitor, d’un canon et deux lances à mousse et 450 litres de liquide émulseur en fûts et jerricans.
Il sera largement mis à contribution durant les bombardements. Son rôle était surtout d’alimenter en eaux les sapeurs-pompiers lorsque les bombardements rompaient les canalisations d’eau